En famille et à l’école préservons la biodiversité, notre terre, notre climat et les écosystèmes qui nous protègent !
13eme petite histoire de la vie.
Coucou !! on est minuscule dans ce monde, regardez comme nous sommes si mignons en famille.
Nous vivons dans un espace forestier en danger.
Par le passé les animaux étaient les occupants naturel de cet espace où ils vivaient en symbiose permettant la gestion naturelle des espaces.
L’Homme savait préserver la forêt, elle lui était précieuse pour sa survie, il en était dépendant.
Certains de ces animaux sont capables de faire des marres en forêt pour permettre à toute une faune de s’y abreuver.
D’autres mangent des graines qui une fois prédigérées permettent aux plantes de se multiplier dans la nature.
Certaines espèces débroussaillent, d’autres sont granivores, carnivores, nécrophages, et les excréments de tous les animaux, nourrissent entre autres… les bactéries, les vers de terre, les champignons, les arbres des forêts.
L’Homme appelle cela un écosystème et nous connaissons tout son intérêt !
Les feuilles par l’action de la photo synthèse absorbent le CO2 qui permet à l’arbre de grossir et de stocker aussi dans ses racines ce gaz en excès sous forme de carbone.
Les insectes dégraderont et enfouiront également les végétaux qui seront stocker dans le sol.
La forêt est ainsi appelée puis de carbone.
Mais vous voyez les enfants s’il n’y avait pas d’arbres capables de stocker ce carbone, de restituer de l’oxygène et de capter l’eau, de fabriquer du sol et de lui permettre de maintenir l’humidité de l’air, l’homme n’aurait plus suffisamment de pluie, ni cette humidité pour alimenter les cultures et ses réserves en eau.
Et nous, nous ne serions pas là dans cet arbre observant toute cette vie !
Les 750 000 kms de haies qui ne permettaient pas à l’agrochimie de développer tout son potentiel ont été arrachées pour produire un gâchis alimentaire de 16 milliards d’Euros sur le sol Français…
Désorganisant ainsi la société, mais lui faisant penser qu’elle optimise sa ressource alimentaire ce qui n’est pas la réalité.
Tout cela est un non-sens pour la biodiversité qui s’est effondrée de 70%, alors qu’elle est indispensable à l’Evolution de l’Homme.
La forêt est donc indispensable à la vie de notre planète.
Lorsque l’Homme a quitté cet espace pour d’autres aventures, il a oublié qu’elle était fragile mais aussi, qu’il en était encore dépendant pour de multiples raisons, dont son climat qui fait l’actualité chez les humains et chez nous aussi d’ailleurs.
Dans certaines régions l’arbre est devenu une valeur marchande, en d’autres lieux la forêt est devenue encombrante et parfois nuisible pour l’économie et le développement d’un pays. Ainsi la forêt vierge disparait avec toute la vie, réservoir de biodiversité et écosystème planétaire permettant de rafraîchir l’air par les nuages et d’arroser naturellement des cultures par la pluie jusqu’ à plus de mille kilomètres du lieu d’évapotranspiration.
Ce qui est perturbant pour les esprits CONSCIENTS !
Alors le bon sens a parfois fini par l’emporter, l’espèce humaine s’est mis à protéger des espaces, elle en a fait des parcs permettant de préserver ce qu’elle a de plus précieux. Mais elle à oublier que des paysans pourraient encore y avoir leurs places, ils permettraient comme autrefois de la protéger et la gérer au mieux, comme le rappelle l’auteur du livre « NOUS… » en apportant une stratégie de défense contre les feux de forêt qui vont augmenter.
Regardez les enfants sans cet arbre et cette forêt qui nous entourent nous serions où ?
Nous faisons partie de cette biodiversité nous nous nourrissons d’insectes, de fruits et nous serons mangés à notre tour, c’est la loi de la nature qui a façonné notre monde depuis des millénaires.
Les changements climatiques provoqués par l’Homme nous font souffrir nous l’espèce animale, car cette forêt s’épuise, suffoque, meurt sous l’effet des pluies acides, et le manque d’humidité de l’air accélère le développement des incendies, mettant l’espèce Humaine à son tour en danger.
Alors nous les perruches, les perroquets les oiseaux d’une manière générale nous venons de lui rappeler toute l’importance de la protection de son environnement. Merci mes petits oisillons de votre plus belle écoute.
Je laisse le soin à mes amis issus de la faune et de la flore de vous raconter la suite succulente de l’histoire de la vie.
Patrick LEVEQUE